MAIRIE de Saibt Felix de Lodez. MAISON NATALE de SERVIN
- Grandit à Saint-Pons de Thomières (Hérault) où sa mère, Augustine SERVIN, fonda et construisit en 1947 le Centre d’Apprentissage Féminin qui deviendra Collège d'Enseignement Technique Féminin en 1960 toujours sous sa direction (aujourd’hui lycée professionnel), établissement scolaire qui comptait à cette époque300 internes qu’elle dirigea pendant 16 ans jusqu'à son décès en 1963 dans l'exercice de ses fonction.
- SERVIN grandit dans ce bâtiment ou il passa son enfance et son adolescence de 1947 à 1963
Le Centre d’Apprentissage Féminin de 300 internes fondé et construit par la mère de SERVIN qui deviendra Collège technique sous sa direction. Aujourd'hui Lycée Professionnel. C'est dans ce bâtiment qu'a grandit SERVIN et ou il a passé son enfance et son adolescence de 1947 à 1963.
L’ancien Collège de Pézenas ou SERVIN fit ses études secondaires.
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SERVICE MILITAIRE ALGERIE / SAHARA
Quelques mois après le retour de son service militaire en Algérie/Sahara SERVIN perd sa mère malade du cancer. Ayant hérité d’elle d’une collection de peinture et dessins d’artistes régionaux dont un Maurice SARTHOU et un fragment de piéta du XVII° (école toulousaine) il en fera don au musée des Beaux arts de Béziers (MUSEE DE FRANCE) par naïveté de jeunesse. Au total 26 pièces toutes reproduites dans le catalogue du musée (tome II). Collection digne d’intérêt puisqu’elle à nécessité l’approbation du Conseil artistique de la Direction des musée de France nécessaire pour entrer dans les collections publiques. Cette collection orientée vers des artistes contemporains connus de l’école languedocienne incitera d’autres donations puis par le biais d’achats judicieux créera, dans ce Musée, un ensemble d’artistes d’après guerre allant bien au delà du Languedoc puisqu’il incluait l’école provençale.
Suite à la donation de SERVIN le Musée des beaux arts de Béziers se trouve à la tête d’un ensemble d’œuvres d’artistes méridionaux qui complète judicieusement le remarquable fond de maîtres anciens du Musee. Malheureusement cet ensemble riche et cohérent d’art méridional contemporain à été retiré des cimaises et remisé on ne sait trop ou par des incompétents
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• Fait la route en pleine période historique du mouvement Beatnik (1964/65). Le magazine LUI (octobre 1965) publie sa photo dans un reportage sur la « beat génération ».